La nation est ce qu'il y a de plus précieux, car elle est le fondement de notre identité collective et le berceau de nos valeurs nationales. Elle est à la fois un creuset de culture et d'histoire, et un lien entre les générations passées, présentes et futures.
Nous sommes une nation où les intérêts supérieurs de l'Etat s'arrêtent aux frontières des intérêts inférieurs des particuliers.
Jean Amadou
[...] du terrible, de l'épouvantable et du plus effroyable de tous les appareils idéologiques d'Etat qu'est, dans une nation où bien entendu l'Etat existe, la famille.
Ce n'est que par la libre fédération des nations autonomes, répudiant les entreprises de force et se soumettant à des règles de droit, que peut être réalisée l'unité humaine.
Cette heureuse révolution et la fin de tous les maux qui nous accablent, dépend de la vertu, du courage et des sentiments de ceux à qui nous confierons le redoutable honneur de défendre nos intérêts dans l'assemblée de la Nation ; nous éviterons avec soin, dans ce choix important, tous les écueils que l'intrigue et l'ambition vont semer sous nos pas ; nous n'irons pas surtout nous reposer de la réforme des abus, sur le zèle de ceux qui se sont intéressés à les conserver par les plus puissants de tous les mobiles, l'intérêt personnel, l'esprit de corps, l'amour et l'habitude de la domination.
La nation est un concept complexe et dynamique qui désigne une population d'individus liés par des liens communs de culture, de langue, d'histoire et de patrimoine. Ces liens peuvent également inclure une origine commune, une religion, des valeurs et des croyances. De nombreux écrivains, philosophes et leaders ont exprimé leur vision de la nation et de la signification et des avantages de l'appartenance à une nation.
[...] on ne saurait intéresser une nation à une création aussi étrangement contradictoire qu'est la Franc-Maçonnerie, si on ne parvient pas à donner une forme ou une figure à ce protée, à cet être ondoyant, fuyant, menteur et hypocrite, et si, en même temps, on ne fournit pas une explication logique de ses variations et de ses mensonges.
Ne laissez aucun homme écrire mon épitaphe ; et, puisqu'aucun homme connaissant mes motifs n'aura aujourd'hui le cran de les justifier, ne laissez pas le parti-pris ou l'ignorance les déshonorer. Laissez-les et laissez-moi moi reposer dans l'obscurité et la paix et laissez mon nom demeurer non écrit, jusqu'à ce que d'autres temps et d'autres hommes puissent faire justice à mon personnage. Quand mon pays prendra sa place parmi les nations de la terre, alors et alors seulement, mon épitaphe pourra être écrit.
De toutes [les] nations [gauloises], les Belges sont les plus vaillants, parce qu'ils restent complètement en dehors de la culture et de la civilisation de la province [romaine], que les marchands ne passent que très rarement dans leur pays, et n'y portent points les denrées qui amollissent les courages ; de plus ils touchent aux Germains, qui habitent au delà du Rhin, et ils leur font une guerre continuelle.
Jules César
Les hommes de génie font la grandeur intellectuelle d'une nation mais rarement sa puissance.
Veillez par tous les moyens sur cette souveraineté fondamentale que possède chaque nation en vertu de sa propre culture. Protégez-là comme la prunelle de vos yeux pour l'avenir de la grande famille humaine.
Race pétrie de divers sangs eurafricains, ils étaient le socle de la nation, le contrepoids raisonnable de défauts sympathiques : légèreté française, passion arabe, indolence noire.
Si vous décidez de cette question, conformément aux prétentions de la cour, vous devez craindre qu'une guerre étrangère ne soit une machination formée par les cours ou par les cabinets ministériels contre les nations, dans le moment où la nôtre a reconquis sa liberté, et où les autres sont peut-être déjà tentées d'imiter ce grand exemple.
Les êtres nobles aiment rarement la vie, ils lui préfèrent les raisons de vivre, et ceux qui se contentent de la vie sont toujours des ignobles. La vie qu'a-t-elle de si désirable, lorsqu'elle n'est sublime ? Les joies du corps, ce n'est pas sans étonnement qu'on voit les plus laids et les plus malsains les goûter avec un surcroît de rage et s'y ruer avec une fureur que les abus n'épuisent, les nations vaincues abondent en vilains de l'espèce insatiable, ces bêtes se rattraperont la nuit des servitudes que la journée leur impose. Seigneur ! épargnez-nous de ressembler aux larves !
Albert Caraco
"Notre prochain, ce n'est pas notre voisin, c'est le voisin du voisin", ainsi pensent toutes les nations.