Retrouvez des dizaines de citations de Friedrich Nietzsche avec des images à copier et à partager.
Il y a toujours un peu de folie dans l'amour mais il y a toujours un peu de raison dans la folie.
Il faut connaître non seulement la marche hardie, légère, délicate et rapide de ses propres pensées, mais avant tout la disposition aux grandes responsabilités, la hauteur et la profondeur du regard impérieux, le sentiment d'être séparé de la foule, des devoirs et des vertus de la foule, la protection et la défense bienveillante de ce qui est mal compris et calomnié, que ce soit Dieu ou le diable ; le penchant et l'habileté à la suprême justice, l'art du commandement, l'ampleur de la volonté, la lenteur du regard qui rarement admire, rarement se lève et aime rarement...
La compassion contrarie en tout la grande loi de l'évolution, qui est la loi de la sélection. Elle préserve ce qui est mûr pour périr, elle s'arme pour la défense des déshérités et des condamnés de la vie, et, par la multitude des ratés de tout genre qu'elle maintient en vie, elle donne à la vie même un aspect sinistre et équivoque.
Une heure d'ascension dans les montagnes fait d'un gredin et d'un saint deux créatures à peu près semblables. La fatigue est le plus court chemin vers l'égalité, vers la fraternité. Et durant le sommeil s'ajoute la liberté.
"Les grandes choses exigent que l'on s'en taise, ou qu'on en parle avec grandeur: avec grandeur, c'est-à-dire avec cynisme et innocence".
Ce que je reproche aux âmes compatissantes, c'est qu'elles perdent facilement toute pudeur, toute délicatesse, tout respect des distances, c'est que, pour un rien, la compassion sent sa plèbe et ressemble à s'y méprendre aux mauvaises manières, — c'est que des mains compatissantes, peuvent à l'occasion avoir un effet proprement dévastateur lorsqu'elles s'en prennent à un grand destin, à une solitude blessée, et au privilège d'une faute écrasante.
Aux égaux, égalité, aux inégaux, inégalité tel devrait être le vrai langage de toute justice ; et, ce qui s'ensuit nécessairement, ce serait de ne jamais égaliser des inégalités.
Il faut connaître non seulement la marche hardie, légère, délicate et rapide de ses propres pensées, mais avant tout la disposition aux grandes responsabilités, la hauteur et la profondeur du regard impérieux, le sentiment d'être séparé de la foule, des devoirs et des vertus de la foule, la protection et la défense bienveillante de ce qui est mal compris et calomnié, que ce soit Dieu ou le diable ; le penchant et l'habileté à la suprême justice, l'art du commandement, l'ampleur de la volonté, la lenteur du regard qui rarement admire, rarement se lève et aime rarement...
Cela me rend heureux de voir que les hommes ne veulent absolument pas penser la pensée de la mort ! J'aimerais contribuer en quelque manière à leur rendre la pensée de la vie encore cette fois plus digne d'être pensée.
Celui qui a plongé son regard au fond de l'univers devine très bien quelle profonde sagesse il y a dans le fait que les hommes sont superficiels.