Que ce j'écris ici puisse être un jour utile a d'autres, que cela arrête le juge prêt a juger, que cela sauve des malheureux innocents ou coupables, de l'agonie a laquelle je suis condamné.
L'Humanité bavarde, ivre de son génie, Et, folle maintenant comme elle était jadis, Criant à Dieu, dans sa furibonde agonie : " Ô mon semblable, ô mon maître, je te maudis ! "
Tu finiras sûrement par le trouver le truc qui leur fait si peur, à eux tous, à tous ces salauds là, autant qu'ils sont et qui doit être au bout de la nuit, et c'est pour ça qu'ils n'y vont pas, au bout de la nuit.
L'existence, ça vous tord et ça vous écrase la face. Les pauvres sont fadés. La misère est géante, elle se sert pour essuyer les ordures du monde de votre figure comme d'une toile à laver.
Là, très tranquille pour réfléchir... Jamais j'ai été si content qu'à cette époque au "Génitron"... Je faisais pas des projets d'avenir... Mais je trouvais le présent pas trop tarte...