C'est commode, une colère. On n'a pas le temps d'approfondir une pensée. Les phrases mi-sincères coulent, volent, frappent, éclatent et le pire, c'est qu'on finit par y croire.
Vahé Katcha
Citations liés
La colère est comme un poison : si on ne le traite pas, il finira par s'accumuler et causer des dégâts.
Comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé d'espoir, devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. J'ai senti que j'avais été heureux et que je l'étais encore.
L'homme qui, dans un accès de colère, ou entraîné par la passion, fait violence à un autre homme, me semble porter la main sur son frère ; et celui qui ne fait pas tous ses efforts pour arrêter les effets de cet emportement est aussi coupable, selon moi, que s'il abandonnait sa patrie, ses parents ou ses amis en péril.
Tout à l'heure, en écoutant le procureur général, j'étais persuadé d'être un criminel. En écoutant mon avocat, j'avais la certitude d'être innocent. Coupable ? Innocent ? Je n'arrivais pas à faire le point. Le doute s'était enraciné dans mon esprit.
Tout à l'heure, en écoutant le procureur général, j'étais persuadé d'être un criminel. En écoutant mon avocat, j'avais la certitude d'être innocent. Coupable ? Innocent ? Je n'arrivais pas à faire le point. Le doute s'était enraciné dans mon esprit.
Tout à l'heure, en écoutant le procureur général, j'étais persuadé d'être un criminel. En écoutant mon avocat, j'avais la certitude d'être innocent. Coupable ? Innocent ? Je n'arrivais pas à faire le point. Le doute s'était enraciné dans mon esprit.