Il reprit le chemin de sa maison, mais les profondeurs de la forêt l'attiraient inexplicablement. Le vent caressait sa fourrure et, dans l'ombre, les feuillages semblaient murmurer son nom.
Le chaton descendit le long de la berge en silence et se tapit sur le sable, tous ses sens en éveil, à l'affut du moindre signe de vie. Le nez au vent, les oreilles dressées, il guettait le plus petit mouvement.