Tous les hommes, même ceux qui apparemment les plus inacessibles à la pitié, on toujours un fonds de bonté : si on arrive à toucher leur cœur, il est possible de les faire changer.
Traiter tous les hommes avec la même bienveillance et prodiguer indistinctement sa bonté peut tout aussi bien témoigner d'un profond mépris des hommes que d'un amour sincère à leur égard.
En montant un escalier, on est toujours plus fatigué à la fin qu'au début. Dans ces conditions, pourquoi ne pas commencer l'ascension par les dernières marches et la terminer par la première.