Les sots, les ignorants, les gens malhonnêtes, vont prendre dans les livres des idées, de la raison, des sentiments nobles et élevés, comme une femme riche va chez un marchand d'étoffes s'assortir pour son argent.
La consolation du vieillard que l'on croit faits pour les grands du monde et pour les riches, sont plutôt le partage des gueux, qui en savourent la douceur avec plus de licence, plus de goût et plus de tranquillité qu'eux.