L'essoufflement des vandales de cités ne doit pas nous endormir. A croiser ces bandes de branleurs primaires, on ne peut qu'exacerber son exécration pour ces humains de façade. Ces ineptes ont toujours tout à reprocher au système et rien à remettre en cause chez eux. Parodie d'existence qui sert les potentats de l'économie illicite. Et la collectivité paiera encore, quelques ajouts aux fonds perdus pour éviter une politique expéditive qui ne s'encombrerait pas de ces mollesses démocratiques.
Les regrets ne servent à rien. Les rancœurs non plus. Seuls le présent et le futur comptent. Nous sommes si fragiles Comme vous, des êtres me manquent. Comme vous, je vis dans l'ombre de leur absence.
Les regrets ne servent à rien. Les rancœurs non plus. Seuls le présent et le futur comptent. Nous sommes si fragiles Comme vous, des êtres me manquent. Comme vous, je vis dans l'ombre de leur absence.
Quel scoop! Un mec qui n'aime pas être malade! Si on en trouve un qui accepte de se soigner sans faire d'histoire, sans miner une agonie digne d'un torturé sous l'Inquisition, ça vaudra le coup de faire un documentaire.