Je compare la vie d'un homme à la terrifiante beauté d'un bonzaï ou d'un vieux pin sur les récifs en bord de mer qui a pris les plis du vent avec le temps. On le juge beau à l'automne de sa vie, mais quel sacrifice a-t-il dû accepter pour pousser ainsi?
L'art de la vie consiste en une réadaptation constante au milieu. Le taoïste accepte le monde tel qu'il est et, contrairement aux confucianistes et aux bouddhistes, s'efforce de trouver de la beauté dans notre monde de malheurs et de tracas.