La misère ne s'empreint pas seulement sur les vêtements ; elle s'empreint sur la beauté. Cela se mêle au point qu'on pourrait dire que le vêtement devient maigre et le visage pauvre.
Comme le crépuscule est beau, on peut se défaire de la méfiance, de la prudence, s'abandonner à l'instant qui ressemble pour une fois à l'idée qu'on se faisait de la vie.