La jeunesse n'ose pas se regarder au miroir de la conscience quand elle verse du côté de l'injustice, tandis que l'âge mûr s'y est vu : là gît toute la différence entre ces deux phases de la vie.
Enfermé entre quatre murs ( au nord, le cristal du non-savoir, paysage à inventer ; au sud, la mémoire sillonnée; à l'est, le miroir ; à l'ouest, la pierre et le chant du silence), j'écrivais des messages sans réponse, détruits à peine signés.
En fait, je déplore que les circonstances quotidiennes ne me permettent pas d'appliquer toujours ce principe de la Voie du Thé : "Dans la maison, il suffit de ne pas laisser l'eau s'infiltrer ; dans la vie, simplement de ne pas mourir de faim."