La mort n'atteint pas seulement celui qui doit fermer les yeux à jamais mais aussi les autres, tous les autres qui recevront l'horreur et l'absence en partage.
Tristesse, j'ai bâti ta maison, et les arbres Mélangent leur jaspure aux taches de tes marbres, Tristesse, j'ai bâti ton palais vert et noir Où l'if du deuil s'allie aux myrtes de l'espoir ;