On trouve un certain charme ...

On trouve un certain charme à répandre des pleurs : En apaisant notre âme, ils calment nos douleurs.
 Ovide

Citations liés

Les commencements ont des charmes inexprimables.
 Molière
Les charmes d'une personne sont une cause moins fréquente d'amour qu'une phrase du genre de celle-ci : Non, ce soir je ne serai pas libre...
L'un des grands charmes du commérage est son insondable inutilité.
 Donna Leon
Vis ta vie et garde tes questions. La vraie liberté, c'est d'accorder à l'autre l'envol de ses désirs et le charme de taire ce qu'il en fait.
 Frédérique Deghelt
J'aime les ragots sur autrui, mais ceux qui me concernent ne m'intéressent pas. Ils n'ont pas le charme de la nouveauté.

Citations du même auteur

Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis. Que le ciel s'obscursisse et tu seras tout seul.
 Ovide
Je sens mon cœur inconstant tiraillé entre l'amour et la haine qui se livrent combat ; mais, je le crois, c'est l'amour qui l'emporte. Je haïrai, si je le puis ; sinon, j'aimerai, mais malgré moi. Le taureau non plus n'aime pas le joug ; il ne porte pas moins ce qu'il hait. Je fuis sa perfidie ; pendant que je fuis, sa beauté me rappelle. J'abhorre les défauts de ton âme et j'aime ton corps. Ainsi je ne puis vivre ni sans toi ni avec toi et ne sais pas moi-même ce que je désire.
 Ovide
Je sens mon cœur inconstant tiraillé entre l'amour et la haine qui se livrent combat ; mais, je le crois, c'est l'amour qui l'emporte. Je haïrai, si je le puis ; sinon, j'aimerai, mais malgré moi. Le taureau non plus n'aime pas le joug ; il ne porte pas moins ce qu'il hait. Je fuis sa perfidie ; pendant que je fuis, sa beauté me rappelle. J'abhorre les défauts de ton âme et j'aime ton corps. Ainsi je ne puis vivre ni sans toi ni avec toi et ne sais pas moi-même ce que je désire.
 Ovide
Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis. Que le ciel s'obscursisse et tu seras tout seul.
 Ovide
Si le doute et l'erreur ont rendu malades les sociétés modernes, nous savons que Dieu fait les nations guérissables.
 Ovide