Napoléon. La plus ...

Napoléon. La plus détestable fripouille de l'histoire de France, une honte absolue pour le pays de Montaigne, Rabelais, Bloy et moi-même. A Sainte-Hélène, il ne pouvait plus s'asseoir aux toilettes sans que les matières contenues dans la fosse lui remontassent spontanément dans le derrière. Une abjection !
 Michel-Georges Micberth

Citations liés

Le mensonge en a trop longtemps imposé aux hommes; il est temps qu'on connaisse le peu de vérités qu'on peut démêler à travers ces nuages de fables qui couvrent l'histoire.
La fin d'une histoire d'amour, c'est une liste de choses qu'on n'accomplira plus ensemble.
 François-Guillaume Lorrain
La vie suit son cours. Chacun trace son chemin. Ecrit son histoire. J'en suis fortuitement témoin ici. Ce qui rend d'autant plus prégnant ce dont je ne suis pas témoin. Tout ce qui s'écrit ailleurs, partout...
 Fabcaro
Mes enfants sont la meilleure chose qui me soit jamais arrivée. Une vieille histoire d'amour ne vaut rien à côté de ça. Rien du tout.
 Anna Gavalda

Citations du même auteur

Est vraiment de droite à notre époque, celui qui refuse le sens de l'histoire, qui n'admet pas la démocratie indirecte, la République bâtie sur les cadavres de centaines de milliers de Français ; qui nie en bloc les lois républicaines, la constitution, les institutions bricolées par les petits-enfants de Robespierre et rejette en fait le dieu-peuple.
 Michel-Georges Micberth
J'adore rouler mes contemporains dans le caca. Les mots orduriers ne me font pas peur, je nourris pour eux une passion stendhalienne. Il en est de bien laids, de bien gluants, de bien puants, de bien excrémentiels qui définissent excellemment le petit personnel que je brocarde.
 Michel-Georges Micberth
Télévision. On a dit beaucoup trop de mal de la télévision, alors qu'on aurait dû lui en faire, en fusillant par exemple l'ensemble de ses journalistes et de ses animateurs. Ça pour commencer.
 Michel-Georges Micberth
Je marche dans la plaine picarde et j'ai froid au cœur. La brume jointoie le ciel et la boue. Je suis lourd et le choc mou de mes talons résonne dans ma nuque. Oppressé, je suis, par le bloc de béton armé que la vie, jour après jour, a coulé dans ma poitrine. Partout le futile, le nul, le désespérément salaud, la trahison. Mes frères corbeaux volent autour de ma tête et me tressent une couronne noire.
 Michel-Georges Micberth
La droite populaire a du ventre, pue de la gueule, habite dans des pavillons encaustiqués et enclos, à patins pour les parquets et à chiens méchants pour la trouille ; diffuse des lieux communs, moralise, cancane, voue un culte sacré au bon sens, approuve l'armée et l'applaudit ; suce le gendarme, lapide la créature, attache les mains de ses enfants et encule la bonne avant de la congédier sans indemnités après avoir porté plainte contre elle pour vol d'argenterie.
 Michel-Georges Micberth