Mais l'enfance n'est ni ...

Mais l'enfance n'est ni nostalgie, ni terreur, ni paradis perdu, ni Toison d'Or, mais peut-être horizon, point de départ, coordonnées à partir desquelles les axes de ma vie pourront trouver leur sens.
 Georges Perec

Citations liés

Et il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage, l'instant où l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses.
Lire mon destin dans les lignes d'une feuille de figuier ! Je te promets des luttes et un grand combat solitaire contre un être sans corps. Je te promets une course de taureaux et une blessure et une ovation. Je te promets le chœur des amis, la chute du tyran et l'écroulement de l'horizon. Je te promets l'exil et le désert, la soif et la foudre qui coupe en deux le rocher: je te promets le jet d'eau.
 Octavio Paz
La chute des grands hommes rend les médiocres et les petits importants. Quand le soleil décline à l'horizon, le moindre caillou fait une grande ombre et se croit quelque chose.
La justice n'est pas une vertu comme une autre. Elle est l'horizon de toutes et la loi de leur coexistence. Toute vertu la suppose ; toute humanité la requiert.
 André Comte-Sponville
C'est ce qu'il y a de si tragique, chez plein de gens : ils oublient que la vie est quelque chose de très malléable, de très flexible ; qu'au fond, c'est nous-mêmes qui choisissons nos limites et nos horizons.
 Douglas Kennedy

Citations du même auteur

Mais l'enfance n'est ni nostalgie, ni terreur, ni paradis perdu, ni Toison d'Or, mais peut-être horizon, point de départ, coordonnées à partir desquelles les axes de ma vie pourront trouver leur sens.
 Georges Perec
Mais l'enfance n'est ni nostalgie, ni terreur, ni paradis perdu, ni Toison d'Or, mais peut-être horizon, point de départ, coordonnées à partir desquelles les axes de ma vie pourront trouver leur sens.
 Georges Perec
Tu as tout à apprendre, tout ce qui ne s'apprend pas : la solitude, l'indifférence, la patience, le silence.
 Georges Perec
L'indifférence dissout le langage, brouille les signes.
 Georges Perec
Donc les Algéropètes ramassèrent leur barda, empilèrent leur fourbi, retapèrent leurs frusques, recousèrent leurs chaussettes, cirèrent leurs godillots, graissèrent leurs fusils, touchèrent leurs rations de bouillon Kub, de café en poudre, de sel de quinine, de poudre vermifuge, achetèrent des boutons, du fil, du dentifrice, les œuvres de Camus (Albert), des stylos à bille, de l'ambre solaire, des boxers-shorts, des babouches.
 Georges Perec