Maintenant qu'on sait, on ...

Maintenant qu'on sait, on sait que c'était la marque, le signe, que nous étions marqués pour la chose, que par ce rond on avait voulu indiquer notre villageet le faire luire au soleil pour le désignerau mal. Va bien; nous, on était contents
 Jean Giono

Citations liés

Alors Monsieur "Je sais tout mieux que tout le monde la question ne se pose même pas" est content? Il a bien triomphé de l'adversité, une fois de plus?
 Michel Plessix
Je t'aime autant que je peux, et si tu n'es pas content tu as qu'à en aimer une autre.
 Molière
Ce qui nous fait souffrir avec tant d'impatience la douleur, c'est de n'être pas accoutumés de prendre notre principal contentement en l'âme.
 Michel de Montaigne
J'espère que vous êtes contents de vous, on aurait pu se faire tuer, ou pire, être renvoyés. Et maintenant, si ça ne vous dérange pas, je vais me coucher.
 J. K. Rowling
Il y a des gens qui ne sont jamais contents. Ils vous trouvent trop tristes, ou trop gais. Avec eux, toujours quelque chose de trop. Moi, j'aime beaucoup le « trop », c'est le signe d'une riche nature.
 Jacques Spitz

Citations du même auteur

Le vent soulève le ciel comme une mer. Il le fait bouillonner et noircir, il le fait écumer comme les montagnes.
 Jean Giono
Et il y eut, au fond du jardin, l'énorme éclaboussement d'or qui éclaira la nuit pendant une seconde. C'était la tête de Langlois qui prenait, enfin, les dimensions de l'univers. Qui a dit : "Un roi sans divertissement est un homme plein de misères " ?
 Jean Giono
Je me reproche de n'avoir pas, au jour le jour, transcrit sur un carnet spécial les phrases glanées au cours de mes lectures, qui méritaient de retenir l'attention, dont je voudrais me souvenir pour pouvoir les citer au besoin.
 Jean Giono
Un silence tombe. Depuis l'incendie, le silence est encore plus lourd qu'avant; les arbres ne le tiennent plus relevé au-dessus des hommes, il écrase la terre de tout son poids. Puis, du milieu de la lande noire, monte le hurlement d'un chien.
 Jean Giono
Qui aurait pu imaginer, dans les villages et dans les administrations, une telle obstination dans la générosité la plus magnifique ?
 Jean Giono