Je compare la vie d'un homme à la terrifiante beauté d'un bonzaï ou d'un vieux pin sur les récifs en bord de mer qui a pris les plis du vent avec le temps. On le juge beau à l'automne de sa vie, mais quel sacrifice a-t-il dû accepter pour pousser ainsi?
Dans ce café bondé d'imbéciles, nous deux Seuls, nous représentions le soi-disant hideux Vice d'être " pour homme " et sans qu'ils s'en doutassent Nous encagnions ces cons avec leur air bonasse, Leurs normales amours et leur morale en toc.