Penser est la deuxième plus belle chose du monde. La plus belle est la poésie. S'il existait une pensée poétique et une poésie pensante, ce serait le Paradis.
C'était la solidarité de ceux qui savent que la perte de la mémoire et de la confiance en soi, surgissant d'une nuit intérieure, peut les assaillir à tout moment sous la lumière aveuglante des projecteurs.
Gregorius plongea dans la ville nocturne (...) Il aimait s'immobiliser devant les vitrines obscures des librairies et avoir le sentiment que, parce que les autres dormaient, ces livres lui appartenaient, à lui tout seul.