Le cirque est un petit bout d'arène close, propre à l'oubli. Un temps plus ou moins bref, il nous permet de ne plus penser à nous, de nous dissoudre dans l'émerveillement et la félicité, d'être transportés de mystère.
Capable d'être dans l'incertitude, le mystère et le doute, en oubliant l'exaspérante quête de la vérité et de la raison. Voilà l'état d'esprit qui convient.
Il est en train d'exiger de la vie davantage que cette secrète harmonie qui nous unit passagèrement au grand mystère de êtres et nous permet de parcourir en leur compagnie une partie du chemin.
Si vous voulez connaître la lie des sentiments humains, penchez-vous sur les sentiments que nourrissent les femmes envers les autres femmes : vous frissonnerez d'horreur devant tant d'hypocrisie, de jalousie, de méchanceté, de bassesse.
L'esprit humain souffre d'une carence intellectuelle fondamentale : pour qu'il comprenne la valeur d'une chose, il faut le priver de cette chose. L'absence lui parle sa langue maternelle ; la présence, c'est de l'hébreu pour lui.
Tu as rendu quelqu'un heureux en étant claire. Il faut oser dire non. Il n'y a rien de gentil à laisser de faux espoirs. L'ambiguïté est la source de la douleur, etc.