Plus que la faim, la soif, le chômage, la souffrance d'amour, le désespoir de la défaite, le pire de tout, c'est de sentir que personne, mais absolument personne en ce monde, ne s'intéresse à nous.
Le chômage est une perte non seulement pour ceux qui en sont victimes, mais aussi pour l'économie et la société dans son ensemble. Il est important de considérer le chômage comme un problème à résoudre, et non comme une fatalité.
Respecter autrui, c'est le considérer comme une partie de soi, ce qui correspond à une évidence si l'on accepte la définition : « Je suis les liens que je tisse avec d'autres. »
Il ne s'agit pas de refuser l'autorité du pouvoir, nous sommes par bonheur en démocratie, mais d'intervenir au quotidien, au difficile équilibre entre le désordre et les excès de l'ordre.