Le multiculturalisme est une belle utopie sans aucun rapport avec la réalité: les communautés majoritaires ont toujours tendance à absorber les petites et leur résistance entraîne les frictions.
Serafín Fanjul
Citations liés
Pour calmer la colère du Dieu de l'eau, il faut lui faire l'offrande d'une femme. Quelqu'un doit se sacrifier pour la communauté.
Il existe une justice et une injustice dont tous les hommes ont comme une divination et dont le sentiment leur est naturel et commun, même quand il n'existe entre eux aucune communauté ni contrat.
Un fou rire général unit Ralph aux autres garçons et détendit l'atmosphère. Une fois de plus, Porcinet servit de bouc émissaire et son ridicule permit à la communauté de retrouver son équilibre et sa gaieté.
L'homme solitaire pense seul et crée des nouvelles valeurs pour la communauté. Il invente ainsi de nouvelles règles morales et modifie la vie sociale. La personnalité créatrice doit penser et juger par elle-même car le progrès moral de la société dépend exclusivement de son indépendance. [...] Je définis une société saine par cette double liaison. Elle n'existe que par des êtres indépendants mais profondément unis au groupe.
Il n'y eu pas de confrontation permanente, mais il n'y eut pas non plus d'harmonie ou de tolérance sans limites: tout dépendait des circonstances concrètes et surtout de la proportion plus ou moins dominante des musulmans. Plus le pourcentage de ces derniers était important, moins la société était tolérante. Les communautés soumises voyaient certains de leurs droits (non pas bien sûr la totalité) reconnus en tant que groupes. Une reconnaissance de droits du groupe, et non pas de l'individu, qui n'a jamais été faite sur un pied d'égalité avec les musulmans.
Il n'y eu pas de confrontation permanente, mais il n'y eut pas non plus d'harmonie ou de tolérance sans limites: tout dépendait des circonstances concrètes et surtout de la proportion plus ou moins dominante des musulmans. Plus le pourcentage de ces derniers était important, moins la société était tolérante. Les communautés soumises voyaient certains de leurs droits (non pas bien sûr la totalité) reconnus en tant que groupes. Une reconnaissance de droits du groupe, et non pas de l'individu, qui n'a jamais été faite sur un pied d'égalité avec les musulmans.
Il n'y eu pas de confrontation permanente, mais il n'y eut pas non plus d'harmonie ou de tolérance sans limites: tout dépendait des circonstances concrètes et surtout de la proportion plus ou moins dominante des musulmans. Plus le pourcentage de ces derniers était important, moins la société était tolérante. Les communautés soumises voyaient certains de leurs droits (non pas bien sûr la totalité) reconnus en tant que groupes. Une reconnaissance de droits du groupe, et non pas de l'individu, qui n'a jamais été faite sur un pied d'égalité avec les musulmans.
Les pouvoirs religieux d'al-Andalus cherchèrent toujours l'islamisation totale et il y eut des exodes massifs de chrétiens vers le nord, jusqu'au XIIe siècle, comme il y eut ensuite ceux des morisques vers le nord de l'Afrique.
Il n'y eu pas de confrontation permanente, mais il n'y eut pas non plus d'harmonie ou de tolérance sans limites: tout dépendait des circonstances concrètes et surtout de la proportion plus ou moins dominante des musulmans. Plus le pourcentage de ces derniers était important, moins la société était tolérante. Les communautés soumises voyaient certains de leurs droits (non pas bien sûr la totalité) reconnus en tant que groupes. Une reconnaissance de droits du groupe, et non pas de l'individu, qui n'a jamais été faite sur un pied d'égalité avec les musulmans.