La lecture était ma liberté et mon réconfort, ma consolation, mon stimulant favori : lire pour le pur plaisir de lire, pour ce beau calme qui vous entoure quand vous entendez dans votre tête résonner les mots d'un auteur.
Les peaux-douces vivaient sous terre, mais leurs yeux portaient loin et ils avertissaient souvent yaggr de choses qui se passaient sur les plateaux et même au-delà de l'horizon.