La Terre... Combien ...

La Terre... Combien sommes-nous à comprendre cette glèbe silencieuse que nous foulons toute notre vie ? Pourtant, c'est elle qui nous nourrit, elle à qui nous devons la vie et devrons irrévocablement la survie
 Pierre Rabhi

Citations liés

Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
 Yéhouda Ashlag
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.

Citations du même auteur

La conscience est probablement ce lieu intime où chaque être humain peut en toute liberté prendre la mesure de sa responsabilité à l'égard de la vie.
 Pierre Rabhi
La conscience est probablement ce lieu intime où chaque être humain peut en toute liberté prendre la mesure de sa responsabilité à l'égard de la vie.
 Pierre Rabhi
Nous commençons à prendre conscience que la subjectivité est en fait un élément indispensable. Après la subjectivité vient la vérification. Einstein n'a pas utilisé, pour autant que je sache, de règle à calculer pour fonder la théorie de la relativité. Il en a d'abord eu l'intuition, puis il l'a vérifiée. C'est pour cette raison que les utopies sont indispensables à l'évolution humaine. Quand on me traite d'utopiste, je le prends comme un compliment. Cela confirme que je suis encore bien vivant.
 Pierre Rabhi
Parmi les alternatives, je crois beaucoup à l'idée de décroissance. C'est à dire à une résistance à la mondialisation compétitive et négative: une résistance fondée sur l'autolimitation et la sobriété. Je revendique pour moi et tous mes semblables ce que la vie elle-même a établi comme légitime: nourriture, vêtements, soins et abri, sans lesquels l'épanouissement humain est impossible.
 Pierre Rabhi
La femme n'est pas infériorisée dans la cosmogonie batifon.Son effacement est dû à ce qu'elle est considérée comme issue du principe germinatif.Elle est graine porteuse de graine et représentante des mondes où activité et silence se confondent.
 Pierre Rabhi