Les sots, les ignorants, les gens malhonnêtes, vont prendre dans les livres des idées, de la raison, des sentiments nobles et élevés, comme une femme riche va chez un marchand d'étoffes s'assortir pour son argent.
Le prisonnier voit la liberté plus belle qu'elle n'est. Le malade se représente la santé comme une source de joies ineffables — ce qui n'est pas. Tout ce qui nous manque est le divin.