La politique de force ...

La politique de force n'était pas assez sûre d'elle sans doute pour s'engager sur tous les fronts avec une égale ardeur. Peut-être avait-elle peur aussi du jugement de l'Histoire ? Sa démarche incertaine, incohérente, plus faible que la faiblesse, la condamnait à suivre, comme au chemin de croix de la France, les itinéraires de l'abandon. Mais elle ne voulait pas livrer l'aveu de son échec. Elle avait besoin d'être respectable. Après avoir tout perdu, tout saccagé, tout abandonné, il lui restait au moins une bataille à gagner : que la France n'en sache rien.
 François Mitterrand

Citations liés

Le chemin de la vie est difficile et il y a des obstacles à surmonter, mais si tu sais où tu veux aller et tu gardes ton courage, tu peux tout surmonter.
Les deux épreuves les plus difficiles sur le chemin spirituel : la Patience d'attendre le bon moment et le Courage de n'être pas déçus par ce que vous trouvez.
Le chemin est plus important que la destination.
 Proverbe hindou
Le chemin de la vie est parsemé d'obstacles, mais si tu veux vraiment atteindre tes objectifs, tu dois vaincre chacun d'eux et faire ton chemin vers le sommet.
Le chemin n'est pas seulement long, il est large et profond. Il y a des leçons à chaque pas et des épreuves à chaque tour. Mais aussi long et difficile qu'il soit, il nous mène toujours à l'endroit où nous devons être.

Citations du même auteur

Le sentiment d'injustice ne suffit pas pour vaincre l'injustice.
 François Mitterrand
Il faut vaincre ses préjugés. Ce que je vous demande là est presque impossible, car il faut vaincre notre histoire. Et pourtant, si on ne le vainc pas, il faut savoir qu'une règle s'imposera. Mesdames et messieurs, le nationalisme, c'est la guerre ! La guerre n'est pas seulement le passé, elle peut être notre avenir ; et c'est vous, mesdames et messieurs les députés, qui êtes désormais les garants de notre paix, de notre sécurité et de notre avenir.
 François Mitterrand
Un caractère fort qui s'abaisse va toujours plus loin dans le zèle qu'un faible qui n'a pas à battre monnaie de son abnégation.
 François Mitterrand
J'ai tendance — c'est peut-être un nationalisme européen tout à fait regrettable —, j'ai tendance à reprendre, en l'adaptant, le mot du premier roi d'Italie : " Europa farà da sé ". Si les Européens ne prennent pas en main leur propre destin, qui le fera ? Le Japon, la Chine, le Nigeria, le Brésil, le Texas, enfin, je ne sais qui... Si vous ne décidez pas vous-même de votre sort, quelqu'un s'en chargera, soyez-en sûrs ; mais ce ne sera pas forcément la meilleure solution.
 François Mitterrand
L'économie c'est simple. C'est deux colonnes : une colonne dépenses et une colonne recettes. N'importe quelle ménagère vous le dirait.
 François Mitterrand