La malveillance et la colère lui étaient inconnues, comme l'était cette peur de l'autre qui change la plupart d'entre nous en bêtes.
Tim Willocks
Citations liés
Tu vois, c'est marrant, on se donne toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, par peur de souffrir, d'être abandonné un jour. Et pourtant, qu'est ce qu'on aime la vie alors qu'on sait qu'elle vous quittera un jour.
Un dicton vietnamien dit: «Seuls ceux qui ont les cheveux long ont peur, car personne ne peut tirer les cheveux de celui qui en a pas.» Alors, j'essaie le plus possible de n'acquérir que des choses qui ne dépassent pas les limites de mon corps.
La vérité c'est que tu as peur de vivre et c'est pour surmonter cette peur que tu es partie assister les autres. [...] Quel étrange destin que d'ignorer ceux qui t'aiment pour aller donner de l'amour à ceux que tu ne connaîtras pas !
L'homme n'a pouvoir sur rien tant qu'il a peur de la mort. Et celui qui n'a pas peur de la mort possède tout. Si la souffrance n'existait pas, l'homme ne se connaîtrait pas de limites, il ne se connaîtrait pas lui-même.
Mon ami Petrus Grubenius croyait que même le soleil n'était au centre de rien de plus que sa propre petite poignée de poussière cosmique. Ce qui est visible est minuscule comparé à ce qui ne l'est pas, et la plupart des notions de Dieu se nourrissent de notre ignorance.
Les bouviers rassemblent les taureaux en un grand troupeau de cinquante ou cent énormes bêtes. De cette horde, un seul taureau va se séparer des autres, dans une direction de son choix sans peur des bouviers [...] Les bouviers l'emmènent dans les montagnes très loin de tout ce que ce taureau a connu. Là, ils le laissent seul et reviennent une semaine plus tard. S'il est devenu maigre, terne et s'il s'enfuit ou s'il vient vers eux, alors ils le tuent immédiatement. Mais s'il est fort, lustré et fier, c'est lui, le taureau de combat.
Toutes chaînes mortelles brisées, toutes dettes morales abandonnées, poursuivit Bors. Nul éloge, ni honneurs, ni grande renommée mais l'extase et un avant-goût du divin. Voilà ce qu'est la gloire.
Les bouviers rassemblent les taureaux en un grand troupeau de cinquante ou cent énormes bêtes. De cette horde, un seul taureau va se séparer des autres, dans une direction de son choix sans peur des bouviers [...] Les bouviers l'emmènent dans les montagnes très loin de tout ce que ce taureau a connu. Là, ils le laissent seul et reviennent une semaine plus tard. S'il est devenu maigre, terne et s'il s'enfuit ou s'il vient vers eux, alors ils le tuent immédiatement. Mais s'il est fort, lustré et fier, c'est lui, le taureau de combat.