La fille a croisé les ...

La fille a croisé les jambes, en remontant sa jupe, et je me suis dit qu'il fallait mourir pour connaitre le paradis.
 Charles Bukowski

Citations liés

Mais un homme qui a fait une fois un bond dans le Paradis, comment pourrait-il s'accommoder ensuite de la vie de tout le monde ? Ce qui est le bonheur des autres m'a paru dérision.
 Alain-Fournier
Le temps était si lumineux, plus lumineux qu'à son souvenir. Ayant absorbé tout le bleu du ciel, le soleil se prélassait dans un paradis blanc, menaçait Lotus, torturait son paysage, mais échouait, échouait, sans cesse échouait à le réduire au silence
N'est-ce pas là, d'ailleurs, le vrai moyen de gagner le paradis : connaître le chemin de l'enfer pour l'éviter.
 Nicolas Machiavel
Sans mors, sans éperon, sans bride, partons à cheval sur le vin pour un ciel féerique et divin ! Nous fuirons sans repos ni trêve, vers le paradis de mes rêves !
 Charles Baudelaire
La forêt, c'est encore un peu du paradis perdu. Dieu n'a pas voulu que le premier jardin fût effacé par le premier péché.
 Marcel Aymé

Citations du même auteur

Il n'y a pas de vide plus grand que lorsque quelqu'un entre dans votre vie, la chamboule et s'en va.
 Charles Bukowski
— Le docteur me fait chier. D'habitude, je m'assois, je me fais mon petit diagnostic, je me file un traitement et je vais voir l'infirmière. Le toubib, lui, me fait braire. Il adore prendre la pose et me raconter son passage dans l'armée nazie. Il a été capturé par les Français et les Français les ont mis dans les villes les gens leur jetaient au passage de l'essence, des bombes puantes et des vieux gants pleins d'insecticide, à eux les pauvres innocents, et j'en ai sacrément ma claque de ses histoires...
 Charles Bukowski
Quand les pigeons ont peur de vous, c'est signe que vous commencez à compter.
 Charles Bukowski
La différence entre une démocratie et une dictature, c'est qu'en démocratie on vote avant d'obéir aux ordres, dans une dictature, on perd pas son temps à voter!
 Charles Bukowski
— Le docteur me fait chier. D'habitude, je m'assois, je me fais mon petit diagnostic, je me file un traitement et je vais voir l'infirmière. Le toubib, lui, me fait braire. Il adore prendre la pose et me raconter son passage dans l'armée nazie. Il a été capturé par les Français et les Français les ont mis dans les villes les gens leur jetaient au passage de l'essence, des bombes puantes et des vieux gants pleins d'insecticide, à eux les pauvres innocents, et j'en ai sacrément ma claque de ses histoires...
 Charles Bukowski