Le communisme n'enlève à personne le pouvoir de s'approprier des produits sociaux; il n'ôte que le pouvoir d'asservir à l'aide de cette appropriation le travail d'autrui.
Pour nous, le communisme n'est pas un état de choses qu'il convient d'établir, un idéal auquel la réalité devra se conformer. Nous appelons communisme le mouvement réel qui abolit l'état actuel des choses. Les conditions de ce mouvement résultent des données préalables telles qu'elles existent actuellement.
La description de la fin du communisme avec son lot d'espoir et aussi de grande vulgarité, a été parfaitement décrite par Emmanuel Carrère dans son Limonov.
On ne peut rien comprendre à la civilisation nord-américaine si l'on ne comprend pas d'abord qu'elle est née de la victoire absolue de l'Angleterre sur la France.
Cuba. C'est la destination la meilleure en ces temps très courus, question rapport qualité-prix. Et je vais aider à la lente absorption du régime cubain par l'économie panaméricaine. Ah Fidel ! (...) Avec mes quelques centaines de dollars, en 15 jours je ferai plus pour les pauvres de ton pays que tous tes sermons reliés sous cuir !
La manie du secret n'épargne personne, dès lors qu'on fait partie d'un système dont la principale source d'énergie réside dans le jeu ô combien excitant du pouvoir.
On ne peut rien comprendre à la civilisation nord-américaine si l'on ne comprend pas d'abord qu'elle est née de la victoire absolue de l'Angleterre sur la France.