On s'arrête à une pompe alors que l'on a même pas besoin d'essence, on rencontre quelqu'un et la vie déraille. Non, le destin n'est pas cruel. Il est bête à pleurer.
A tout être humain ont été concédées deux qualités : le pouvoir et le don. Le pouvoir conduit l'homme à la rencontre de son destin ; le don l'oblige à partager avec les autres ce qu'il y a de meilleur en lui.
Il n'y a pas cinquante manières de combattre, il n'y en a qu'une, c'est d'être vainqueur. Ni la révolution ni la guerre ne conssitent à se plaire à soi-même.