L'age des philosophes ...

L'age des philosophes universels était passé.le poids du savoir est trop grand pour un seul cerveau. le temps viendrait ou l'homme n'exploiterait qu'un fragment,mais qu'il connaîtrait a fond.
 John Steinbeck

Citations liés

La tristesse, c'est un peu comme un rhume de cerveau - avec de la patience, ça passe. La dépression, c'est comme le cancer.
 Barbara Kingsolver
Sidération. Etat de sidération. Quand la douleur est telle que le cerveau renonce, pour un temps, à faire son boulot de transmetteur. Cette hébétude entre le drame et les hurlements.
 Anna Gavalda
Il semble qu'il existe dans le cerveau une zone tout à fait spécifique qu'on pourrait appeler la mémoire poétique et qui enregistre ce qui nous a charmés, ce qui nous a émus, ce qui donne à notre vie sa beauté.
Chaque souvenir, aussi lointain soit-il, a lieu "maintenant", au moment où il apparaît dans l'esprit. Plus on se souvient d'une chose, plus le cerveau a la possibilité d'affiner l'expérience originale, car un souvenir ne se visionne pas, il se recrée.
 David Mazzucchelli
Le bien le plus précieux est le cerveau isolé de l'homme.
 John Steinbeck

Citations du même auteur

Lorsque notre nourriture, nos vêtements, nos toits ne seront plus que le fruit exclusif de la production standardisée, ce sera le tour de notre pensée. Toute idée non conforme au gabarit devra être éliminée.
 John Steinbeck
L'été est le temps des rêves et des souvenirs.
 John Steinbeck
Le bien le plus précieux est le cerveau isolé de l'homme.
 John Steinbeck
Pour l'homme né sans conscience, l'homme torturé par sa conscience doit sembler ridicule.Pour le voleur,l'honnêteté n'est qu'une faiblesse. N'oubliez pas que le monstre n'est qu'une variante et que, aux yeux du monstre, le normale est monstrueux.
 John Steinbeck
Pour l'homme né sans conscience, l'homme torturé par sa conscience doit sembler ridicule.Pour le voleur,l'honnêteté n'est qu'une faiblesse. N'oubliez pas que le monstre n'est qu'une variante et que, aux yeux du monstre, le normale est monstrueux.
 John Steinbeck