La mort n'atteint pas seulement celui qui doit fermer les yeux à jamais mais aussi les autres, tous les autres qui recevront l'horreur et l'absence en partage.
L'esprit humain souffre d'une carence intellectuelle fondamentale : pour qu'il comprenne la valeur d'une chose, il faut le priver de cette chose. L'absence lui parle sa langue maternelle ; la présence, c'est de l'hébreu pour lui.
Voila l'innocence, voilà la perfection, voilà la beauté de l'âme dans celle du corps. Voilà celui que j'aime, que je sers et que je prie. L'amour divin est dans une de ses caresses, et je vois le ciel dans ses yeux bleus.