Sans doute le bruit courait-il que je l'avais ensorcelée ou que j'étais un baiseur de première. Au point que je me demandais parfois s'il n'y avait pas comme un parfum de vérité là-dessous.
La solitude est une sorte de tare : elle a un subtil parfum de tristesse, quelque chose qui n'attire, ni n'intéresse personne, et on en a un peu honte.
L'édifice en ciment D'une belle et chaude journée d'août Le réveil des caïmans entre les jacinthes d'eau L'image fuit le jour et son précieux suicide Il enduit son museau de vase incolore Les berges de la Seine n'entraînent plus ma chute Et les papilles de ta langue Silence sur le calme plat Flocons goémons spasmes verticales Colorent mes nuits de malaises indéfinissables.