Je ne savais pas qu'on ...

Je ne savais pas qu'on pouvait vivre, travailler, plaisanter et être malade de douleur. (...) J'ignorais qu'on pouvait à la fois être détruit et concentré sur son travail, effondré et souriant, triste et disponible, nostalgique et amoureux.
 Brigitte Giraud

Citations liés

Le travail social c'est l'équivalent objectif, idéal, du travail réel, le double irréel, quantifié supposé le représenter.
 Michel Henry
Je connais un monsieur, c'est un auto-stoppeur professionnel. Il lui est arrivé un accident de travail... il a perdu le pouce !
 Raymond Devos
Le travail : une malédiction que l'homme a transformée en volupté.
 Emil Michel Cioran

Citations du même auteur

Vous voudrez dormir ensemble, et vous deviendrez papa et maman, vous demeurerez allongés l'un près de l'autre, vous ne vous séparerez jamais.
 Brigitte Giraud
Qu'est-ce que je vais faire de tout mon amour pour lui ? J'en fais quoi ? Je le range dans une bibliothèque ?
 Brigitte Giraud
Je ne savais pas qu'on pouvait vivre, travailler, plaisanter et être malade de douleur. (...) J'ignorais qu'on pouvait à la fois être détruit et concentré sur son travail, effondré et souriant, triste et disponible, nostalgique et amoureux.
 Brigitte Giraud
Et pour la première fois, je me sens libre, étrangement légère, libre parce que étrangère, dans une vie provisoire, sans témoin, sans passé. Sans rien à prouver.
 Brigitte Giraud
Il est devant vous, démuni et fatigué. Et ainsi, il ne vous plaît plus. Une coquille vide que vous avez aspirée. Peut-on aimer une coquille ? Peut-on aimer un homme qui ne se rebelle pas ?
 Brigitte Giraud