Je n'en pouvais plus de ...

Je n'en pouvais plus de souffrir, mais j'aurais été incapable de dire précisément de quoi je souffrais. ça n'avait pas de nom, pas d'histoire, pas de visage, c'était un obscur chagrin qui me broyait le cœur.
 Lionel Duroy

Citations liés

Le plus grand courage n’est pas de ne pas pleurer, mais de se relever et continuer à avancer malgré le chagrin.
Ne pas être capable de dire adieu peut être l'une des formes les plus douloureuses du chagrin, car cela signifie que vous ne pouvez pas accepter votre perte et aller de l'avant avec votre vie.
Parfois, le plus grand acte de courage est simplement de continuer à avancer malgré la douleur et le chagrin que nous ressentons en chemin.
Bien plus que le temps, c'est le sommeil qui est l'antidote du chagrin. L'insomnie, en revanche, qui grossit la moindre contrariété et la convertit en coup du sort, veille sur nos blessures et les empêche de dépérir.

Citations du même auteur

Les gens d'ici ont eu le même espoir un jour : ils sont partis de chez eux, ils ont cru qu'ils pourraient se débarrasser du fardeau, et regarde dans quel état ils sont aujourd'hui ! Regarde ce qu'ils sont devenus !
 Lionel Duroy
Notre vie est si décousue, si destructurée, que je ne conserve de cette période que des bribes de souvenirs, comme si je n'avais fait que somnoler.
 Lionel Duroy
Je n'en pouvais plus de souffrir, mais j'aurais été incapable de dire précisément de quoi je souffrais. ça n'avait pas de nom, pas d'histoire, pas de visage, c'était un obscur chagrin qui me broyait le cœur.
 Lionel Duroy