J'écris parce que je ...

J'écris parce que je n'arrive pas à être heureux, quoi que je fasse. J'écris pour être heureux.
 Orhan Pamuk

Citations liés

La jeunesse est une fleur dont l'amour est le fruit... Heureux le vendangeur qui le cueille après l'avoir vu lentement mûrir.
 Alexandre Dumas
J'aurais dû avoir deux cœurs, le premier insensible, le second constamment amoureux, j'aurais confié ce dernier à celles pour qui il bat et avec l'autre j'aurais vécu heureux. Amin Maalouf
 Guillaume Musso
Appellerez-vous heureux celui qui fonde son bonheur sur ses enfants, sur ses amis, sur des choses fragiles et périssables? En un moment, toute sa félicité peut s'évanouir. Ne connaissez d'autre appui que vous-même et la divinité.
 Démophile
Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux ; et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l'homme.
Eh bien moi, j'aime la pluie avant qu'elle tombe. Bien sur que ça n'existe pas. C'est bien pour ça que c'est ma préférée. Une chose n'a pas besoin d'exister pour rendre les gens heureux.
 Jonathan Coe

Citations du même auteur

Connaître c'est se souvenir de ce que l'on a vu. Voir, c'est reconnaître ce qu'on a oublié. Peindre, c'est donc se souvenir de ces ténèbres.
 Orhan Pamuk
Un bon croyant sait que Dieu est justice et raison, qu'il prend en compte les intentions profondes de ses serviteurs.
 Orhan Pamuk
Durant mes premières années de lycée, je considérais la solitude comme un fait passager, je n'avais pas encore assez de maturité pour m'apercevoir qu'elle faisait partie de mon destin.(L'espoir est un état d'enfance, c'est la résistance de l'imagination)
 Orhan Pamuk
La peinture n'est que la recherche des souvenirs de Dieu, dans le but de voir l'univers tel qu'Il le voit.
 Orhan Pamuk
Durant mes premières années de lycée, je considérais la solitude comme un fait passager, je n'avais pas encore assez de maturité pour m'apercevoir qu'elle faisait partie de mon destin.(L'espoir est un état d'enfance, c'est la résistance de l'imagination)
 Orhan Pamuk