J'ai fait un lit de ma ...

J'ai fait un lit de ma poitrine Et mon amant fourbu suit un long chemin jusqu'à moi.
 Sayd Bahodine Majrouh

Citations liés

Le chemin de la vie est difficile et il y a des obstacles à surmonter, mais si tu sais où tu veux aller et tu gardes ton courage, tu peux tout surmonter.
Les deux épreuves les plus difficiles sur le chemin spirituel : la Patience d'attendre le bon moment et le Courage de n'être pas déçus par ce que vous trouvez.
Le chemin est plus important que la destination.
 Proverbe hindou
Le chemin de la vie est parsemé d'obstacles, mais si tu veux vraiment atteindre tes objectifs, tu dois vaincre chacun d'eux et faire ton chemin vers le sommet.
Le chemin n'est pas seulement long, il est large et profond. Il y a des leçons à chaque pas et des épreuves à chaque tour. Mais aussi long et difficile qu'il soit, il nous mène toujours à l'endroit où nous devons être.

Citations du même auteur

Déjà le coq maudit et son triste chant de départ, Et mon amant s'en va comme un oiseau blessé.
 Sayd Bahodine Majrouh
Mon amant préfère les yeux couleur de ciel Et je ne sais où changer les miens couleur de nuit.
 Sayd Bahodine Majrouh
Elle chante exclusivement le destin du corps et privilégie un élément de cette réalité physique : le cœur. Il est le siège des émotions, de la joie et de la tristesse, d'espoirs passagers et de désespoirs profonds. Au point que le mot " cœur " s'utilise souvent comme pour se prendre soi-même à témoin. Par cet artifice, la chanteuse se dédouble et s'adresse le discours poétique. Le cœur se voit aussi parfois personnifié. Il est alors comparé à un oiseau, à une ruine, à une fontaine de sang, à un four fermé qui dévore ses propres flammes.
 Sayd Bahodine Majrouh
Viens mon amour que je t'enlace, Je suis la lierre fragile que l'automne bientôt emportera.
 Sayd Bahodine Majrouh
Cependant, si la femme pashtoune invite l'homme à l'amour, jamais elle ne l'attire par sa tendresse ou par sa douceur. Elle le provoque dans son honneur et dans sa dignité, mais à ce jeu d'audace, c'est elle qui prend le plus de risques. Car l'homme peut se défendre, s'enfuir, se réfugier dans un pays lointain, tandis que la femme ne possède pas de tels recours. Découverte, elle n'a qu'à se laisser massacrer. Pourtant cette orgueilleuse ne consent aucune allusion à l'évident danger qui la guette. Elle se contente seulement d'encourager l'homme, le vaillant guerrier, à prendre quelques risques.
 Sayd Bahodine Majrouh