Inutile d'en chercher : il n'y a pas d'excuses. Ni dans les drames du passé, coups d'États, oppression, répression, ni dans ceux du présent. Non, il n'y a pas d'excuses pour le gouvernement, pour le système, pour les méthodes des Khmers rouges au Cambodge. [...]Le devoir d'éduquer, de former les esprits aux obligations et aux choix que suppose toute rupture de société ne peut être confondu, sans dommage majeur, avec cette épouvantable machinerie mise en place un peu partout pour broyer les consciences, en brisant, au besoin, les corps. À Phnom Penh, on en est là .
François Mitterrand