Il n'y a point de vieille ...

Il n'y a point de vieille femme. Toute, à tout âge, si elle aime, et si elle est bonne, donne à l'homme le moment de l'infini.
 Jules Michelet

Citations liés

L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir.
C'est marrant, quand on est libre de faire tout ce qu'on veut, on finit par ne pas faire grand chose. Quand le choix est infini, il n'y a pas de choix possible.
 Jonathan Coe
Réserver son jugement implique un espoir infini.
 Francis Scott Fitzgerald
Le nombre infini de positions que peut prendre un corps de femme me donne le vertige.
 Georges Wolinski
Ce qui est en vous est infini occupe la demeure céleste, dont la porte est la brume matinale et dont les fenêtres sont les chants et les silences de la nuit.

Citations du même auteur

En nationalité, c'est tout comme en géologie, la chaleur est en bas ; aux couches inférieures, elle brûle.
 Jules Michelet
Le brouillard se lèvera un jour ou l'autre entre les deux rives [de la méditerranée], et l'on se reconnaîtra. L'Afrique, dont les races se rapprochent tellement de nos races du Midi, l'Afrique que je reconnais parfois dans mes amis les plus distingués des Pyrénées, de la Provence, rendra à la France un grand service ; elle expliquera en elle bien des choses qu'on méprise et qu'on n'entend pas.
 Jules Michelet
Avec le monde a commencé une guerre qui doit finir avec le monde, et pas avant : celle de l'homme contre la nature, de l'esprit contre la matière, de la liberté contre la fatalité. L'histoire n'est pas autre chose que le récit de cette interminable lutte.
 Jules Michelet
Où paraissent les chrétiens, paraît le désert; où sont les Arabes, l'eau et la vie jaillissent de toutes parts, les ruisseaux courent, la terre verdit, devient un jardin de fleurs. Et le champ de l'intelligence aussi fleurit. Barbares, que serions-nous sans eux?.
 Jules Michelet
Son génie propre [à la France] est précisément dans ce que les étrangers, les provinciaux même, appellent insignifiance et indifférence, et qu'on doit plutôt nommer une aptitude, une capacité, une réceptivité universelle. [...] C'est là la supériorité de la France centrale sur les provinces, de la France entière sur l'Europe. Cette fusion intime des races constitue l'identité de notre nation, sa personnalité.
 Jules Michelet