Et qui, enfin, ne peut gouverner ses désirs... ne peut cependant jouir de la paix de l'âme, de la connaissance et de l'amour de Dieu mais périt nécessairement.
Dans notre monde, nul n'est irremplaçable. Quelles que soient nos connaissances ou nos capacités, quelqu'un, quelque part, prendra notre place. Si notre planète était peuplée d'êtres irremplaçables, ce serait terriblement ennuyeux [...]
Si l'on commence à haïr la chose aimée, de sorte que l'amour soit complètement anéanti, on éprouvera pour elle, à motif égal, une haine plus grande que si on ne l'avait jamais aimée, et d'autant plus grande que notre amour aura été plus grand.