Et puis tu regardes la ...

Et puis tu regardes la vieille peau : sans dents, sans yeux, sans cervelle, sans âme, sans cul, sans bouche, sans couleur, sans nerfs, sans rien, rien qu'un bâton, et tu te demandes ce que son thé, ses biscuits, son église et son petit pavillon ont fait pour ELLE. Et les vieux se mettent parfois dans une colère noire contre les jeunes : Bon sang, j'ai travaillé dur toute ma vie ! (Ils prennent le travail pour une vertu, mais ça prouve seulement qu'un type est taré).
 Charles Bukowski

Citations liés

Le travail social c'est l'équivalent objectif, idéal, du travail réel, le double irréel, quantifié supposé le représenter.
 Michel Henry
Je connais un monsieur, c'est un auto-stoppeur professionnel. Il lui est arrivé un accident de travail... il a perdu le pouce !
 Raymond Devos
Le travail : une malédiction que l'homme a transformée en volupté.
 Emil Michel Cioran

Citations du même auteur

Il n'y a pas de vide plus grand que lorsque quelqu'un entre dans votre vie, la chamboule et s'en va.
 Charles Bukowski
— Le docteur me fait chier. D'habitude, je m'assois, je me fais mon petit diagnostic, je me file un traitement et je vais voir l'infirmière. Le toubib, lui, me fait braire. Il adore prendre la pose et me raconter son passage dans l'armée nazie. Il a été capturé par les Français et les Français les ont mis dans les villes les gens leur jetaient au passage de l'essence, des bombes puantes et des vieux gants pleins d'insecticide, à eux les pauvres innocents, et j'en ai sacrément ma claque de ses histoires...
 Charles Bukowski
Quand les pigeons ont peur de vous, c'est signe que vous commencez à compter.
 Charles Bukowski
La différence entre une démocratie et une dictature, c'est qu'en démocratie on vote avant d'obéir aux ordres, dans une dictature, on perd pas son temps à voter!
 Charles Bukowski
— Le docteur me fait chier. D'habitude, je m'assois, je me fais mon petit diagnostic, je me file un traitement et je vais voir l'infirmière. Le toubib, lui, me fait braire. Il adore prendre la pose et me raconter son passage dans l'armée nazie. Il a été capturé par les Français et les Français les ont mis dans les villes les gens leur jetaient au passage de l'essence, des bombes puantes et des vieux gants pleins d'insecticide, à eux les pauvres innocents, et j'en ai sacrément ma claque de ses histoires...
 Charles Bukowski