Citations Victor Hugo - page 19

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Je resterai jusqu'à la mort le protestant de la liberté d'aimer.
La philosophie ne doit pas être un encorbellement bâti sur le mystère pour le regarder à son aise, sans autre résultat que d'être commode à la curiosité.
(...) tout rentra dans cette espèce de calme qu'on appelle l'ordre. Mais les yeux étaient pleins de vengeance, et les poings des misérables se crispaient sur leurs genoux.
Pourquoi donc nos désirs, nos volontés, nos affections sont-ils si loin de nous, si nous sommes condamnés à ne jamais les suivre !
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Je regrette l'Y de l'ancienne orthographe du mot abîme. Car Y était du nombre de ces lettres qui ont un double avantage : indiquer l'étymologie et faire peindre la chose par le mot : ABYME.
Les inspirés, chose bizarre, méconnaissent l'inspiration.
Les vieilles gens sont volontiers avares. Ils appellent cela prudence. Ils craignent que la terre leur manque. Et pourtant c'est la seule chose qui ne leur manquera pas.
La racine plonge dans la terre : le cerveau plonge en Dieu. C'est-à-dire dans l'infini.
Gauvain venait d'assister à un prodige. En même temps que le combat terrestre, il y avait eu un combat céleste. Le combat du bien contre le mal. Un cœur effrayant venait d'être vaincu. Etant donné l'homme avec tout ce qui est mauvais en lui, la violence, l'erreur, l'aveuglement, l'opiniâtreté malsaine, l'orgueil, l'égoïsme, Gauvain venait de voir un miracle. La victoire de l'humanité sur l'homme. L'humanité avait vaincu l'inhumain. Et par quel moyen ? de quelle façon ? comment avait-elle terrassé un colosse de colère et de haine ? quelles armes avait-elle employées ? quelle machine de guerre ? le berceau.
Devant la conscience, être capable, c'est être coupable.
Deux mains jointes font plus d'ouvrage, sur la terre, Que tout le roulement des machines de guerre.
La maison comme l'homme peut devenir cadavre. Il suffit qu'une superstition la tue.
L'homme ne sera adulte que le jour où son cerveau pourra contenir dans sa plénitude et dans sa simplicité la notion divine.
Manifester la conscience, c'est presque montrer Dieu.
Notre cause sera-t-elle plus sainte et plus juste quand nous aurons exterminé des femmes, égorgé des enfants, torturés des vieillards, brûlé des colons dans leurs maisons ?
En vieillissant, elle avait gagné ce qu'on pourrait appeler la beauté de la bonté.
Gauvain venait d'assister à un prodige. En même temps que le combat terrestre, il y avait eu un combat céleste. Le combat du bien contre le mal. Un cœur effrayant venait d'être vaincu. Etant donné l'homme avec tout ce qui est mauvais en lui, la violence, l'erreur, l'aveuglement, l'opiniâtreté malsaine, l'orgueil, l'égoïsme, Gauvain venait de voir un miracle. La victoire de l'humanité sur l'homme. L'humanité avait vaincu l'inhumain. Et par quel moyen ? de quelle façon ? comment avait-elle terrassé un colosse de colère et de haine ? quelles armes avait-elle employées ? quelle machine de guerre ? le berceau.
Il est plus facile de renoncer à l'avenir qu'au passé. De là, la puissance indomptable du moi.
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Et l'on reconnaîtra que, même au point de vue de notre égoïsme, il est difficile de composer le bonheur de l'homme avec la souffrance de la femme.
La racine plonge dans la terre : le cerveau plonge en Dieu. C'est-à-dire dans l'infini.