Il n’y a point de chemin trop long à qui marche lentement et sans se presser ; il n’y a point d’avantages trop éloignés à qui s’y prépare par la patience.
Il n'y a point de chemin trop long à qui marche lentement et sans se presser ; il n'y a point d'avantages trop éloignés à qui s'y prépare par la patience.
Les gens déjà chargés de leur propre misère sont ceux qui entrent davantage par la compassion dans celle d'autrui.
Il y a un sentiment de liberté à suivre ses caprices, et tout au contraire de servitude à courir pour son établissement : il est naturel de se croire digne de le trouver sans l'avoir cherché.
Il n'y a point de chemin trop long à qui marche lentement et sans se presser ; il n'y a point d'avantages trop éloignés à qui s'y prépare par la patience.
Il y a une fausse modestie qui est vanité, une fausse gloire qui est légèreté, une fausse grandeur qui est petitesse, une fausse vertu qui est hypocrisie, une fausse sagesse qui est pruderie.
L'esprit de modération et une certaine sagesse dans la conduite laissent les hommes dans l'obscurité ; il leur faut de grandes vertus pour être connus et admirés, ou peut-être de grands vices.