Les citations sur la haine sont des mots puissants qui peuvent exprimer des sentiments intenses et complexes. La haine est un sentiment très fort et profond qui peut être dirigé vers une personne, un groupe, une idée ou même une chose. La haine peut être motivée par de nombreuses raisons différentes, notamment le racisme, l'intolérance religieuse, la xénophobie et bien d'autres encore. Les citations sur la haine peuvent servir à rappeler aux gens que la haine est un sentiment destructeur qui ne devrait pas être encouragé. En partageant des citations sur la haine, nous pouvons aider à sensibiliser les gens au fait que la haine ne devrait pas être tolérée et qu'elle doit être combattue.
Les citations ci-dessous offrent des perspectives variées sur ce sentiment complexe et controversé.
La haine, comme l'amour, se nourrit des plus petites choses, tout lui va.
D'ici,les villes habitées que je survole sont autant de furoncles à la surface de la plaine.Barricades herisées de tessons de haine.Un méchant eczéma sur la croûte terrestre.
L'amitié est cette coïncidence parfaite de deux désirs. Mais l'envie et la jalousie ne sont pas autre chose. La mimesis du désir est à la fois le ressort de ce que l'amitié offre de meilleur et de ce que la haine a de pire.
Les citations sur la haine sont des mots puissants qui peuvent être utilisés pour exprimer une profonde aversion ou un fort dégoût pour une personne, une chose ou une situation. Elles peuvent également servir à souligner le mal et l'injustice que la haine provoque dans le monde.
J'ai lu dans un bouquin que la haine est un plat qui se venge du froid.
Je suis toujours un peu fier de mon amour pour le monde. C'est si facile de haïr, en comparaison. Et je suis là en train de me flatter, fonçant tête baissée vers la haine la plus stupide que j'aie jamais éprouvée.
Il y a toujours de la haine de soi à l'origine de la haine de l'autre.
Nicole Avril
Vieillir mal - et il est rare qu'on vieillisse bien - c'est sentir monter en soi la haine contre cet étranger qui s'installe et prend peu à peu la place du jeune homme ou de la jeune fille qu'on a à peine eu le temps d'être.
Des hommes. Pour eux, il fallait toujours trembler, mais n'avoir aucune pitié ni même - c'était préférable - aucune haine, seulement une saine méfiance.
La guerre d'Algérie, c'est d'abord un soulèvement contre les égorgeurs et les pillards et une fraternisation totale des Musulmans et des Français contre ce déchainement de haine.
La « politique » était un terme poli pour désigner les préjugés antédiluviens, les haillons destinés à masquer les haines ancestrales et les ressentiments tribaux.
Ma haine de ce monde est ce que je trouve en moi de plus estimable, je hais le monde en tant que malade et que Juif, voilà deux titres du meilleur aloi, j'aime la mort et je fais bien, la plupart des malades ne l'aiment pas assez et leur fureur de vivre les rend méprisables, les Juifs de leur côté ne l'aiment pas du tout et leur attachement à l'existence est la raison du dégoût qu'ils m'inspirent. Il manque à ces deux races d'hommes le recul, la réserve et la pudeur, ni les malades ni les Juifs n'auront de style, ce sont des pauvres dans le pire sens du mot, qui s'arment au besoin de leur misère.
La haine elle-même n'existait pas. Au début, cela s'était appelé la guerre froide. À présent c'était devenu un jeu, un jeu bon enfant pourrait-on dire, avec des règles tacites et une certaine honnêteté.