Ce qui nous fait souffrir ...

Ce qui nous fait souffrir avec tant d'impatience la douleur, c'est de n'être pas accoutumés de prendre notre principal contentement en l'âme.
 Michel de Montaigne

Citations liés

Alors Monsieur "Je sais tout mieux que tout le monde la question ne se pose même pas" est content? Il a bien triomphé de l'adversité, une fois de plus?
 Michel Plessix
Je t'aime autant que je peux, et si tu n'es pas content tu as qu'à en aimer une autre.
 Molière
J'espère que vous êtes contents de vous, on aurait pu se faire tuer, ou pire, être renvoyés. Et maintenant, si ça ne vous dérange pas, je vais me coucher.
 J. K. Rowling
Maintenant qu'on sait, on sait que c'était la marque, le signe, que nous étions marqués pour la chose, que par ce rond on avait voulu indiquer notre villageet le faire luire au soleil pour le désignerau mal. Va bien; nous, on était contents
 Jean Giono
Il y a des gens qui ne sont jamais contents. Ils vous trouvent trop tristes, ou trop gais. Avec eux, toujours quelque chose de trop. Moi, j'aime beaucoup le « trop », c'est le signe d'une riche nature.
 Jacques Spitz

Citations du même auteur

J'accuse toute violence en l'éducation d'une âme tendre, qu'on dresse pour l'honneur, et la liberté. Il y a je ne sais quoi de servile en la rigueur, et en la contrainte : et tiens que ce qui ne se peut faire par la raison, et par prudence, et adresse, ne se fait jamais par la force.
 Michel de Montaigne
La gloire et la curiosité sont les deux fléaux de notre âme. Celle-ci nous conduit à mettre le nez partout, et celle-là nous défend de rien laisser irrésolu et indécis.
 Michel de Montaigne
La préméditation de la mort est préméditation de la liberté. Qui a appris à mourir, il a désappris à servir.
 Michel de Montaigne
Le vrai miroir de nos discours est le cours de nos vies.
 Michel de Montaigne
Si comme la vérité, le mensonge n'avait qu'un visage, nous serions en meilleurs termes. Car nous prendrions pour certain l'opposé de ce que dirait le menteur. Mais le revers de la vérité a cent mille figures et un champ infini.
 Michel de Montaigne