Sans doute le bruit courait-il que je l'avais ensorcelée ou que j'étais un baiseur de première. Au point que je me demandais parfois s'il n'y avait pas comme un parfum de vérité là-dessous.
La solitude est une sorte de tare : elle a un subtil parfum de tristesse, quelque chose qui n'attire, ni n'intéresse personne, et on en a un peu honte.
En chaque femme, il y a toutes les femmes : la princesse, la jeune fille, l'aventurière, la compagne, la mère ; celles que nous avons été ou que nous aurions pu être ; celles que nous pensons pouvoir devenir un jour ; celles que nous ne serons jamais.
Les hommes ont le pouvoir d'accomplir les plus grandes choses. Ils peuvent construire leur vie, en créer d'autres ou aider celle des autres à se construire. On ne vit jamais seul. La solitude est une illusion. Le desespoir, un leurre.