C'est bizarre à dire : il ...

C'est bizarre à dire : il est vrai que les puissants ont été dépassés par la réalité, avec leur pouvoir clérical-fasciste qui leur colle à la peau comme un masque ridicule ; mais les représentants de l'opposition ont été dépassés eux aussi par la réalité, avec sur leur peau, comme un masque ridicule, leur progressisme et leur tolérance.
 Pier Paolo Pasolini

Citations liés

Respecter une femme, c'est pouvoir envisager l'amitié avec elle ; ce qui n'exclut pas le jeu de la séduction, et même, dans certains cas, le désir et l'amour.
Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps.
 Frédéric Beigbeder
Il en voulait à la vie de cette maladie sur laquelle il n'avait aucun pouvoir et qui lui gâchait le meilleur de son existence.
 Mano Solo
Le pouvoir rend fou et le pouvoir absolu rend absolument fou.
 Hubert Beuve-Méry

Citations du même auteur

Le temps perdu ne se rattrape pas ! En fait, il vit au plus profond de nous, et seuls quelques-uns de ses fragments, anesthésiés ou embaumés par une mémoire conceptuelle et intéressée, vivent dans la conscience et forment notre autobiographie.
 Pier Paolo Pasolini
La société préconsumériste avait besoin d'hommes forts, donc chastes. La société de consommation a besoin au contraire d'hommes faibles, donc luxurieux. Au mythe de la femme enfermée et séparée (dont l'obligation de chasteté impliquait la chasteté de l'homme) s'est substitué le mythe de la femme ouverte et proche, toujours à disposition. Au triomphe de l'amitié entre hommes et de l'érection s'est substitué le triomphe du couple et de l'impuissance. Les hommes jeunes sont traumatisés par l'obligation, que leur impose la permissivité, de faire tout le temps et librement l'amour.
 Pier Paolo Pasolini
La vérité ne se trouve pas dans un seul rêve mais dans beaucoup de rêves.
 Pier Paolo Pasolini
C'est bizarre à dire : il est vrai que les puissants ont été dépassés par la réalité, avec leur pouvoir clérical-fasciste qui leur colle à la peau comme un masque ridicule ; mais les représentants de l'opposition ont été dépassés eux aussi par la réalité, avec sur leur peau, comme un masque ridicule, leur progressisme et leur tolérance.
 Pier Paolo Pasolini
C'est bizarre à dire : il est vrai que les puissants ont été dépassés par la réalité, avec leur pouvoir clérical-fasciste qui leur colle à la peau comme un masque ridicule ; mais les représentants de l'opposition ont été dépassés eux aussi par la réalité, avec sur leur peau, comme un masque ridicule, leur progressisme et leur tolérance.
 Pier Paolo Pasolini