La misère ne s'empreint pas seulement sur les vêtements ; elle s'empreint sur la beauté. Cela se mêle au point qu'on pourrait dire que le vêtement devient maigre et le visage pauvre.
Sans, le piano je me serais effondré. Mais la musique est vie, tant qu'elle résonne, rien ne meurt. Quand il joue, le musicien vit ses souvenirs comme s'ils étaient l'instant présent.
Que disait Emmi Rothner ? "Après coup, on vit souvent des choses qui n'étaient pas possibles d'avance. En général, ce ne sont pas les plus mauvaises expériences." En bref : tout est possible. Je commence à le croire, moi aussi.