Tandis, Ponticus, que tu chantes la Thèbes de Cadmus et les tristes armes du combat fraternel et - puissé-je avoir autant de chance ! - que tu rivalises avec Homère qui est le premier (pourvu que les destins soient favorables à tes poèmes !), nous, comme à l'habitude, nous menons nos amours et cherchons quelque parade contre une dure maîtresse ; et je dois servir moins mon inspiration que ma douleur ; je dois me plaindre des durs moments de ma jeunesse. C'est la façon dont se passe ma vie, c'est ma gloire, c'est de là que je désire voir le renom de mes vers.
Tandis, Ponticus, que tu chantes la Thèbes de Cadmus et les tristes armes du combat fraternel et - puissé-je avoir autant de chance ! - que tu rivalises avec Homère qui est le premier (pourvu que les destins soient favorables à tes poèmes !), nous, comme à l'habitude, nous menons nos amours et cherchons quelque parade contre une dure maîtresse ; et je dois servir moins mon inspiration que ma douleur ; je dois me plaindre des durs moments de ma jeunesse. C'est la façon dont se passe ma vie, c'est ma gloire, c'est de là que je désire voir le renom de mes vers.
Tandis, Ponticus, que tu chantes la Thèbes de Cadmus et les tristes armes du combat fraternel et - puissé-je avoir autant de chance ! - que tu rivalises avec Homère qui est le premier (pourvu que les destins soient favorables à tes poèmes !), nous, comme à l'habitude, nous menons nos amours et cherchons quelque parade contre une dure maîtresse ; et je dois servir moins mon inspiration que ma douleur ; je dois me plaindre des durs moments de ma jeunesse. C'est la façon dont se passe ma vie, c'est ma gloire, c'est de là que je désire voir le renom de mes vers.
Cynthie la première me prit, pour mon malheur, de ses doux yeux, moi que n'avaient encore touché nuls désirs. Alors il me fit baisser mon regard au ferme dédain, l'Amour qui pressa ma tête de ses pieds appuyés, jusqu'à ce qu'il m'apprît à détester les jeunes femmes vertueuses, l'effronté, et à vivre sans règle.