Je compare la vie d'un homme à la terrifiante beauté d'un bonzaï ou d'un vieux pin sur les récifs en bord de mer qui a pris les plis du vent avec le temps. On le juge beau à l'automne de sa vie, mais quel sacrifice a-t-il dû accepter pour pousser ainsi?
J'aime les petites attentions dans les lieux où on mange : les rince-doigts dans les restaurants de crustacés et les sacs pour vomir sur les vols dans les avions.