A chaque fois, l'hymne de 98, le moisi I will survive, tisse la communion d'une soirée, avant de se klaxonner, de s'insulter et de s'écraser sitôt engoncé dans sa taule roulante. Pas à une contradiction près le convive déconfit. Ondulations et strangulations se cumulent sans pudeur. Et les islamistes fustigent nos affalements barbares. L'éradication jumelée des populations et de leurs mœurs fétides s'accomplit.
Loïc Decrauze